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Moment de grâce

Publié le par Michel Monsay

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L'autre versant des Canaries

Publié le par Michel Monsay

L'autre versant des Canaries

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Ambiance de fin de journée à l'aéroport de Barcelone

Publié le par Michel Monsay

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Portrait souriant

Publié le par Michel Monsay

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Un retour inespéré et vraiment bluffant

Publié le par Michel Monsay

Un retour inespéré et vraiment bluffant

C’est assurément l’un des plus grands groupes de l’histoire de la  pop anglaise et l’on n’avait plus de leurs nouvelles ensemble depuis leur dernier album il y a 12 ans. Blur se conjuguait donc au passé, d’autant que leur leader Damon Albarn avait multiplié entre-temps les projets et créations musicales avec succès, notamment Gorillaz. Le plus étonnant est de les retrouver à un tel niveau, rien de réchauffé ni d’ennuyeux dans leur retour, bien au contraire de l’inventivité, de la spontanéité, un talent intact et renouvelé. Dès les premières notes de l’album, le ton est donné dans une rythmique très efficace pour sceller ces retrouvailles magiques. Puis le quatuor anglais enchaîne 11 autres morceaux alternant des tempos rock, une pop tantôt nonchalante, légère, tantôt d’une grande beauté où l’électronique s’invite par moments, de même que quelques cordes. Pour autant, le son Blur est toujours bien présent avec la voix flegmatique et lancinante si reconnaissable de Damon Albarn, et l’excellente guitare de Graham Coxon, dont le retour au sein du groupe, il n’était pas sur le dernier album en date, se ressent dans la qualité des compositions. Multipliant des atmosphères très différentes, ce disque conçu en partie à Hong-Kong, d’où la pochette écrite en mandarin, est tout autant empreint de mélancolie que de vitalité. A l’heure où l’on célèbre David Bowie à travers une exposition qui a drainé les foules à Londres puis à Paris, le maître pourra un peu se reconnaître dans les chansons de ses glorieux disciples. Pour notre plus grand bonheur, Damon Albarn, si prolifique par ailleurs, a renoué avec le groupe qui lui a permis d’exprimer au mieux son talent jusqu’à présent, et il le confirme aujourd’hui avec cet album très réussi.

 

                                                                                                                    

Blur – The magic whip – Parlophone/Warner music – 1 CD : 14,99 €.

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Un suspense sentimental fascinant

Publié le par Michel Monsay

Un suspense sentimental fascinant

Après nous avoir bouleversés avec son précédent film « Barbara », qui replongeait dans l’Allemagne de l’Est des années 1980 sans manichéisme, l’excellent cinéaste allemand Christian Petzold revisite une nouvelle fois les périodes sombres de l’Histoire de son pays.  Nous sommes cette fois au lendemain de la seconde guerre mondiale dans un Berlin en ruines, baignant dans une atmosphère sordide où certains tentent d’oublier l’horreur qu’ils ont vécue et d’autres de la nier. Le réalisateur a eu la bonne idée de reprendre le même couple de comédiens que dans Barbara, où ils étaient déjà remarquables de justesse et d’intensité retenue. Ils le sont tout autant dans une histoire diamétralement opposée en termes de rapport entre les personnages, avec une mention particulière à Nina Hoss dont la métamorphose progressive tout au long du film est impressionnante de maîtrise. On comprend en la regardant jouer les raisons qui poussent le cinéaste à ne pas s’en passer, il s’agit de leur 6ème film ensemble. Cette alchimie fonctionne dans les deux sens, l’actrice trouvant dans le cinéma de Christian Petzold, l’écrin idéal pour s’exprimer. Un cinéma d’une grande intelligence où la suggestion l’emporte sur la lourdeur, où l’Histoire que l’on sent très présente n’apparaît qu’en creux dans le récit troublant de Phoenix, et le résultat en est d’autant plus efficace. En juin 1945, deux femmes juives allemandes revenant à Berlin en voiture sont arrêtées par des soldats alliés pour contrôler leur identité. L’une d’elles a le visage recouvert de bandages après avoir survécu par miracle à Auschwitz. L’héritage de sa famille, dont elle est l’unique survivante, lui permet de se payer une opération de reconstruction faciale avec le soutien de sa meilleure amie, qui la ramène littéralement à la vie avec pour projet d’aller s’installer en Israël. Mais la survivante veut absolument essayer de retrouver son mari. Un scénario très subtil, une interprétation saisissante, une mise en scène d’une grande précision, font de ce mélodrame une œuvre puissante et marquante.

                                                                                                                 

Phoenix – Un film de Christian Petzold avec Nina Hoss, Ronald Zehrfeld, Nina, Kunzendorf, … - Diaphana vidéo – 1 DVD : 19,99 €.

Publié dans DVD

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Réjouissante parenthèse champêtre hors du temps

Publié le par Michel Monsay

Réjouissante parenthèse champêtre hors du temps

La comédie à la française se porte bien, non pas celle vulgaire et lourdingue dont on parle beaucoup trop, mais plutôt celle décalée et poétique qui recèle plein de charmes. Après le délicieux Caprice d’Emmanuel Mouret il y a deux mois, Bruno Podalydès nous offre son 7ème long-métrage, une rêverie pleine de fantaisie loin de la frénésie ambiante, et des schémas si prévisibles de nos sociétés formatées que l’on retrouve dans la plupart des films. Alors que dans ses six premières œuvres, le rôle principal était tenu par son frère Denis sociétaire de la Comédie française, cette fois Bruno s’y colle et s’en sort vraiment très bien. Il porte le film de bout en bout, de l’écriture du scénario à la réalisation, jusqu’à ce personnage de doux rêveur nonchalant qu’il rend très attachant. Ce petit bijou regorge de poésie, de fraîcheur, de drôlerie jusque dans les plus petits détails. Les personnages féminins forts bien écrits sont des offrandes à Sandrine Kiberlain, une fois de plus lumineuse, à Agnès Jaoui qui tient l’un de ses plus beaux rôles en nous proposant un registre différent, et à l’épatante Vimala Pons dont la présence gracieuse ne manque pas de nous séduire. Un infographiste cinquantenaire passionné d’aéropostale, qui se prend pour Jean Mermoz à bord de son scooter, n’a pas vraiment l’air passionné par son travail et ne manque pas une occasion de rêvasser. Même pour son anniversaire surprise, il n’est pas spécialement ravi de voir ses proches, il semble ailleurs. Après une réunion de travail où il est question de trouver des palindromes, la recherche sur Internet de notre doux rêveur aboutit à un kayak, dont il tombe immédiatement sous le charme. À l’image de son héros, on se laisse porter par le courant de ce film jubilatoire au propos et aux personnages bienveillants, dont on ressort chargé d’énergie positive et avec la furieuse envie de prendre le temps de vivre.

                                                                                                                      

Comme un avion – Un film de et avec Bruno Podalydès, avec Sandrine Kiberlain, Agnès Jaoui, Vimala Pons, Denis Podalydès, …

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Evènement LCL

Publié le par Michel Monsay

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Caresse du matin

Publié le par Michel Monsay

Caresse du matin

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Bienvenue à Rungis

Publié le par Michel Monsay

Bienvenue à Rungis

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