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chroniques

Sacrée championne

Publié le par Michel Monsay

Sacrée championne
Sacrée championne

À nouveau, Cassandre Beaugrand a brillé. Après sa médaille d'or aux JO de Paris, la Française s'est imposée samedi pour la grande finale du circuit de la Word Triathlon Championship Series (WTCS) et devient la première tricolore championne du monde de triathlon. Dans les vagues agitées de Torremolinos (Espagne), la championne olympique ne s'est pas facilité les choses. Pensant viser la bonne bouée, elle s'est isolée en début de course, loin du paquet des autres concurrentes. 31e à la sortie du premier tour de nage, la Française a limité les dégâts en débutant la deuxième partie 10e, à 15 secondes de la tête. Elle est rapidement revenue dans le groupe de tête sur son vélo décoré à la feuille d'or pour l'occasion, avant de s'envoler sur le circuit de course à pied. Présentée depuis dix ans comme un talent d’exception, la grande blonde, l’une des figures de sa discipline, avait toujours manqué de peu ce titre de championne du monde. Chez les juniors (2014), les Espoirs (2018) ou les grandes (2023), Cassandre Beaugrand s’était à chaque fois classée deuxième. Mais cette année, la Française de 27 ans a prouvé que rien ne pouvait plus la perturber pour devenir une championne d'exception.

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Qui va arrêter ce fou qui ne conçoit qu’un seul moyen, le recours à la force, avec un mépris absolu pour le droit international

Publié le par Michel Monsay

Qui va arrêter ce fou qui ne conçoit qu’un seul moyen, le recours à la force, avec un mépris absolu pour le droit international
Qui va arrêter ce fou qui ne conçoit qu’un seul moyen, le recours à la force, avec un mépris absolu pour le droit international
Qui va arrêter ce fou qui ne conçoit qu’un seul moyen, le recours à la force, avec un mépris absolu pour le droit international

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Ce dessin de Charb est malheureusement toujours d'actualité

Publié le par Michel Monsay

Ce dessin de Charb est malheureusement toujours d'actualité
Ce dessin de Charb est malheureusement toujours d'actualité
Ce dessin de Charb est malheureusement toujours d'actualité
Ce dessin de Charb est malheureusement toujours d'actualité

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On a rarement fait mieux en matière de rock

Publié le par Michel Monsay

On a rarement fait mieux en matière de rock

Avec Led Zeppelin, Deep Purple est le plus grand groupe de hard rock de l’Histoire. Highway star de 1972 qui est joué ici en 1984 avec les 5 membres historiques du groupe en est la parfaite démonstration. Ian Gillan au chant, une voix exceptionnelle, Jon Lord certainement le meilleur claviériste du rock, Ritchie Blackmore, un guitariste virtuose, Ian Paice, l'un des tous meilleurs batteurs rock, et de même pour Roger Glover à la basse. C'était ça la force de Deep Purple, la qualité remarquable de ses composantes, chacun au top dans son domaine. Autre performance renversante des 5 dans Child in time, enregistré à la BBC en 1970.

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Malheureusement ça devait arriver

Publié le par Michel Monsay

Malheureusement ça devait arriver
Malheureusement ça devait arriver
Malheureusement ça devait arriver
Malheureusement ça devait arriver
Malheureusement ça devait arriver

Il sera à jamais le meilleur joueur de tennis de tous les temps avec Novak Djokovic et Roger Federer. À chacun sa préférence. Même si on s'y attendait depuis quelques temps, l'annonce de la retraite de Rafael Nadal ne peut que chagriner les amoureux de sport. Il suffit de regarder son palmarès époustouflant : 22 titres en tournoi du Grand Chelem (dont 14 Roland-Garros), il n'y a que Djokovic qui a fait mieux avec 24, 36 tournois ATP 1000, un titre de champion olympique, pour un total de 92 trophées remportés dans sa carrière. Qui d'autre que ses éternels rivaux pour parler de Rafael Nadal :

Novak Djokovic : Rafa, un seul post n'est pas assez pour exprimer tout le respect que j'ai pour toi et pour ce que tu as accompli pour notre sport. Tu as inspiré des millions d'enfants qui se sont mis au tennis grâce à toi et je crois que c'est le plus grand accomplissement que quelqu'un puisse souhaiter, salue le Serbe dans son message. Ta ténacité, ta dévotion, ta rage de vaincre seront racontées pendant des décennies. Ton héritage vivra pour toujours. Il n'y a que toi qui puisses savoir tout ce que tu as enduré pour devenir une icône du tennis et du sport tout court. Merci de m'avoir toujours poussé à la limite de mes capacités dans notre rivalité qui m'a le plus impactée en tant que joueur, poursuit Djokovic. Ta passion pour représenter l'Espagne a toujours été remarquable. Je te souhaite le meilleur au revoir à Malaga en Coupe Davis. Je serai là pour rendre hommage à ton extraordinaire carrière.

Roger Federer : Quelle carrière, Rafa ! J'ai toujours espéré que ce jour n'arrive jamais. Merci pour tous ces souvenirs inoubliables et tous tes accomplissements dans ce jeu que nous aimons. Cela a été un honneur absolu.

Un ancien champion, Mats Wilander, porte un regard sur les trois : Dans le tennis, Roger Federer a amené le flair. Novak Djokovic, lui, est au‐dessus de tout le monde niveau palmarès. Mais pour moi, personne n’a apporté plus que Nadal dans une des composantes essentielles du tennis, à savoir la passion. La passion est désormais indissociable de notre sport. On peut le voir à travers Carlos Alcaraz, et même parfois chez Jannik Sinner. Ces gars aiment la bagarre et je pense qu’ils le doivent à Rafael Nadal. L’élément le plus important dans le sport, c’est la passion.

Merci pour tout Rafael Nadal, car en plus d'avoir été un sportif d'exception qui nous a régalé durant 20 ans de son talent prodigieux, il est aussi une très belle personne, comme le rappelle ici Roger Federer.

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Une grande tristesse

Publié le par Michel Monsay

Une grande tristesse
Une grande tristesse
Une grande tristesse
Une grande tristesse
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Une grande tristesse

Il était le plus doué et celui que l'on préférait de la bande, et malheureusement c'est lui qui s'en va le premier à 72 ans. Michel Blanc, pilier surdoué de la troupe de café-théâtre du Splendid composée de Josiane Balasko, Marie-Anne Chazel, Christian Clavier, Gérard Jugnot, Thierry Lhermitte, est resté indissociable du personnage de Jean-Claude Dusse, loser attachant des comédies cultes Les Bronzés (1978) et Les bronzés font du ski (1979), de Patrice Leconte. Dusse, c'est ce moustachu pâlichon qui ne suscite que l'indifférence. Il est le plus touchant de cette bande d'affreux, le seul qui, par-delà les gags, inspire un peu de compassion aux spectateurs. De ses plans drague foireux qui n'atteignent jamais leur conclusion à ses tentatives de suicide, Dusse rate absolument tout. Mais il a accepté son sort, cette fatalité de loser qui le poursuivra toujours. S'il réussit quoique ce soit un jour, ce sera forcément sur un malentendu. Après Les bronzés font du ski où il se retrouve coincé sur un télésiège à chanter « Quand te reverrais-je, pays merveilleux… » en 1979, Michel Blanc va décliner cet archétype dans trois comédies qu'il coécrit avec Patrice Leconte : Viens chez moi, j'habite chez une copine (1980), Ma femme s'appelle reviens (1981) et Circulez, y'a rien à voir (1982). Puis dans son premier film de réalisateur Marche à l'ombre, énorme succès de 1984. Toujours moustachu, le Michel Blanc du début des années 1980 donne un visage à la France qui a raté le train des Trente Glorieuses. La France dans la dèche, qui squatte les canapés des potes et zone devant les flippers, en attendant une vague combine foireuse à la place d'un boulot de plus en plus rare. Michel Blanc joue ce gars-là, « épais comme un sandwich SNCF », comme le chante Renaud dans la B.O. de Marche à l'ombre. Et pour encore mieux se diminuer, il s'affiche avec les beaux balèzes de l'époque, Bernard Giraudeau et Gérard Lanvin. Il reviendra à Bertrand Blier de le transformer en une figure tragique et pathétique. En 1986, dans Tenue de soirée,  Michel Blanc tombe amoureux de Gérard Depardieu, rase sa moustache, se travestit et reçoit le Prix d'interprétation au festival de Cannes, sa carrière peut alors prendre une direction nouvelle. En 1989, Monsieur Hire de Patrice Leconte le précipite dans la France pluvieuse de Georges Simenon. Il y est excellent en jouant autrement, l'éternel invisible, ce fade Hire qui vit seul dans son appartement parisien, obsédé par une voisine qu'il passe des nuits à observer dans le noir. S'il ne renonce pas totalement à la comédie, Michel Blanc va pouvoir devenir le grand acteur dramatique qu'il a toujours rêvé d'être : collabo irascible dans Uranus de Claude Berri en 1990, bouleversant médecin homosexuel courageux et débordé par la vague du Sida dans Les témoins d'André Téchiné en 2007, glacial directeur de cabinet du ministère des transports dans L'exercice de l'Etat, superbe film de Pierre Schoeller, qui lui offre un César amplement mérité en 2011. Dans son dernier film sorti sur les écrans, Marie-Line et son juge de Jean-Pierre Améris, il jouait un juge. Il s'y montrait bougon, alcoolique… et finalement, forcément, attachant. Il y aussi ce rôle qu'il s'est écrit lui-même, dans un numéro schizophrénique troublant. En 1994, dans Grosse fatigue, il se met en scène en pauvre type qui se fait passer pour Michel Blanc où Carole Bouquet l'y traite de « Woody Allen franchouillard ». L'acteur réalisateur est mort sans prévenir, dans la nuit, et sa vie s'est conclue, sur un malentendu. Il aimait citer cette phrase de Jacques Brel : « On est le produit de hasards biologiques qui font ce qu'ils peuvent ». En 50 ans de carrière, il nous aura proposé 50 nuances de Blanc en tant qu'acteur évidemment mais aussi comme réalisateur dans ses trois premiers films, c'est peu dire qu'il va nous manquer.

Extrait d'une interview de Jean-Pierre Améris, le réalisateur de Marie-Line et son juge à propos de Michel Blanc : « Comme souvent avec les comiques, l’émotion n’est jamais loin. J’aime les gens capables de faire rire. Quand on fait autant rire les autres, c’est parce qu’on est blessé. C’est l’être humain qui aurait voulu être autre chose et qui va mettre toute la misère humaine dans son personnage. On reconnaît le talent des acteurs comiques uniquement quand ils font des rôles tragiques. Je le déplore. Dans Les Bronzés ou Marche à l’ombre, il mettait énormément de douleur. Ce genre de rôles qui nous représentent nous consolent et nous sauvent. Le spectateur ne se moque pas de Jean-Claude Dusse. On a de l’empathie pour lui. Et Michel Blanc ne se moquait pas des gens. Il vient d’un milieu modeste, il était très caustique, mais pas du tout méprisant, loin de là. La phrase d’Henri Calet, “Ne me secouez pas, je suis plein de larmes”, lui correspond absolument.

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Irrésistible

Publié le par Michel Monsay

Irrésistible

Cliquez ici pour bien démarrer la semaine, et n'oubliez pas de mettre le son !

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Comment ne pas être écœuré ?

Publié le par Michel Monsay

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Cet homme fait honte aux juifs du monde entier

Publié le par Michel Monsay

Cet homme fait honte aux juifs du monde entier

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Il n'y a plus de mot pour exprimer le dégoût qu'inspire Macron

Publié le par Michel Monsay

Il n'y a plus de mot pour exprimer le dégoût qu'inspire Macron
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