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Inquiétant malgré sa beauté visuelle

Publié le par Michel Monsay

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Oies dans le cloître de la cathédrale de Barcelone

Publié le par Michel Monsay

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Peut-être un descendant de d'Artagnan ...

Publié le par Michel Monsay

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Décor inspiré de séminaire

Publié le par Michel Monsay

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Epoustouflant de virtuosité

Publié le par Michel Monsay

Epoustouflant de virtuosité

Ce coup de fouet, traduction littérale du titre, qui a énormément fait parler de lui et a obtenu de très nombreuses récompenses dont 3 Oscars, est certainement l’un des tous meilleurs films sur la musique qui n’ait jamais été réalisé. Le jeune cinéaste américain de 30 ans, non seulement mélomane averti mais aussi ancien batteur comme le héros de son film, a vécu une expérience similaire à celle qu’il nous raconte, ce qui contribue en partie à la puissance émotionnelle de Whiplash. A cela, il faut ajouter un talent impressionnant qui se traduit dans le cadre, magnifiques gros plans d’instruments, de mains, de visages, dans la mise en scène qui induit autant une tension quasi permanente que des moments extrêmement jouissifs, mais aussi dans un son parfait, un montage très efficace, une lumière souvent  dans un superbe clair-obscur et une musique euphorisante. Bref, tout y est pour créer un film inoubliable, d’autant que les deux comédiens principaux sont éblouissants chacun à sa manière, et les rôles qu’ils interprètent très finement écrits. Jamais, on n’aura aussi bien montré la détermination nécessaire et l’extrême difficulté pour devenir un grand musicien de jazz, surtout lorsque l’élève est sous la houlette d’un perfectionniste qui exige un dépassement de soi permanent. Un jeune batteur de 19 ans apparemment très doué répète seul dans une salle d’un prestigieux conservateur newyorkais. Il s’interrompt lorsqu’apparaît le chef admiré et redouté de l’orchestre des meilleurs musiciens de l’école. Celui-ci le met à l’épreuve et quitte la salle avant même que le jeune ait terminé. Après une soirée ciné avec son père, on le retrouve le lendemain matin dans sa classe de première année, où l’on s’aperçoit qu’il n’est que batteur remplaçant et tourne les pages des partitions du titulaire. Ce film est à ne rater sous aucun prétexte tant il nous procure un bonheur cinématographique, un bonheur musical, un suspense psychologique fort brillamment mené, dont on ressort sonné, admiratif et si reconnaissant d’avoir vécu une telle expérience.

                                                                                                                      

Whiplash – Un film de Damien Chazelle avec Miles Teller, J.K. Simmons, Melissa Benoist, … - Ad Vitam – 1 DVD : 19,99 €.

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Un amour inoubliable

Publié le par Michel Monsay

Un amour inoubliable

Depuis plus de vingt ans, Arnaud Desplechin est l’un des cinéastes français les plus passionnants. Chacun de ses films étant à la fois très attendu et souvent inattendu, tant sa capacité inépuisable à explorer les comportements et les rapports humains, qu’ils soient amoureux, amicaux ou familiaux, nous étonne chaque fois un peu plus. Les derniers en date en témoignent : « Jimmy P. », « Un conte de Noël », « Rois et reine ». Aussi efficace dans le burlesque que dans l’émotion pure, il aime aussi user d’une veine romanesque du meilleur effet, que l’on retrouve ici de manière plus flagrante qu’à l’accoutumée. A 54 ans, le réalisateur retourne une nouvelle fois dans sa ville de Roubaix pour nous plonger dans les souvenirs de son personnage, et peut-être aussi les siens même si le film n’est pas autobiographique, interprété par son double au cinéma, Mathieu Amalric. Cette sorte de double à l’écran n’est pas la seule similitude avec François Truffaut, dont on retrouve ça et là l’influence, notamment dans l’interprétation des jeunes comédiens. Baigné d’une douce mélancolie, le film nous transporte avec fièvre vers ces paradis perdus de nos jeunesses, où tout est encore possible, où l’on se sent invincible, où l’amour naissant transcende chaque minute. Un anthropologue français s’apprête à quitter le Tadjikistan, où il a vécu plusieurs années. En arrivant sur le sol français, il rencontre des ennuis à cause de ses papiers. Il est alors interrogé par un homme mystérieux à qui il raconte un souvenir de sa jeunesse qui pourrait être la cause de ses ennuis. Habitué du Festival de Cannes, Arnaud Desplechin est présent cette année à la Quinzaine des réalisateurs. Son film démontre une nouvelle fois qu’il est un des maîtres du cinéma d’auteur français. Un cinéma d’auteur qui a du souffle, qui ne manque pas d’ironie, et où l’on ne s’ennuie pas le quart d’une seconde bien au contraire. La mise en scène, la direction d’acteurs, les cadrages, tout est conçu pour que l’histoire de Paul et Esther nous reste longtemps en mémoire.

 

                                                                                                                     

Trois souvenirs de ma jeunesse – Un film d’Arnaud Desplechin avec Quentin Dolmaire, Lou Roy-Lecollinet, Mathieu Amalric, …

Publié dans Films

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Bâtisseur comme au Moyen-Âge

Publié le par Michel Monsay

Bâtisseur comme au Moyen-Âge

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Pensionnaire d'un lycée horticole

Publié le par Michel Monsay

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Fenêtre sur jardin

Publié le par Michel Monsay

Fenêtre sur jardin

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Pastel de l'île de Tatihou

Publié le par Michel Monsay

Pastel de l'île de Tatihou

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