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chroniques

Ce dessin de Charb est malheureusement toujours d'actualité

Publié le par Michel Monsay

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Ce dessin de Charb est malheureusement toujours d'actualité

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On a rarement fait mieux en matière de rock

Publié le par Michel Monsay

On a rarement fait mieux en matière de rock

Avec Led Zeppelin, Deep Purple est le plus grand groupe de hard rock de l’Histoire. Highway star de 1972 qui est joué ici en 1984 avec les 5 membres historiques du groupe en est la parfaite démonstration. Ian Gillan au chant, une voix exceptionnelle, Jon Lord certainement le meilleur claviériste du rock, Ritchie Blackmore, un guitariste virtuose, Ian Paice, l'un des tous meilleurs batteurs rock, et de même pour Roger Glover à la basse. C'était ça la force de Deep Purple, la qualité remarquable de ses composantes, chacun au top dans son domaine. Autre performance renversante des 5 dans Child in time, enregistré à la BBC en 1970.

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Malheureusement ça devait arriver

Publié le par Michel Monsay

Malheureusement ça devait arriver
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Il sera à jamais le meilleur joueur de tennis de tous les temps avec Novak Djokovic et Roger Federer. À chacun sa préférence. Même si on s'y attendait depuis quelques temps, l'annonce de la retraite de Rafael Nadal ne peut que chagriner les amoureux de sport. Il suffit de regarder son palmarès époustouflant : 22 titres en tournoi du Grand Chelem (dont 14 Roland-Garros), il n'y a que Djokovic qui a fait mieux avec 24, 36 tournois ATP 1000, un titre de champion olympique, pour un total de 92 trophées remportés dans sa carrière. Qui d'autre que ses éternels rivaux pour parler de Rafael Nadal :

Novak Djokovic : Rafa, un seul post n'est pas assez pour exprimer tout le respect que j'ai pour toi et pour ce que tu as accompli pour notre sport. Tu as inspiré des millions d'enfants qui se sont mis au tennis grâce à toi et je crois que c'est le plus grand accomplissement que quelqu'un puisse souhaiter, salue le Serbe dans son message. Ta ténacité, ta dévotion, ta rage de vaincre seront racontées pendant des décennies. Ton héritage vivra pour toujours. Il n'y a que toi qui puisses savoir tout ce que tu as enduré pour devenir une icône du tennis et du sport tout court. Merci de m'avoir toujours poussé à la limite de mes capacités dans notre rivalité qui m'a le plus impactée en tant que joueur, poursuit Djokovic. Ta passion pour représenter l'Espagne a toujours été remarquable. Je te souhaite le meilleur au revoir à Malaga en Coupe Davis. Je serai là pour rendre hommage à ton extraordinaire carrière.

Roger Federer : Quelle carrière, Rafa ! J'ai toujours espéré que ce jour n'arrive jamais. Merci pour tous ces souvenirs inoubliables et tous tes accomplissements dans ce jeu que nous aimons. Cela a été un honneur absolu.

Un ancien champion, Mats Wilander, porte un regard sur les trois : Dans le tennis, Roger Federer a amené le flair. Novak Djokovic, lui, est au‐dessus de tout le monde niveau palmarès. Mais pour moi, personne n’a apporté plus que Nadal dans une des composantes essentielles du tennis, à savoir la passion. La passion est désormais indissociable de notre sport. On peut le voir à travers Carlos Alcaraz, et même parfois chez Jannik Sinner. Ces gars aiment la bagarre et je pense qu’ils le doivent à Rafael Nadal. L’élément le plus important dans le sport, c’est la passion.

Merci pour tout Rafael Nadal, car en plus d'avoir été un sportif d'exception qui nous a régalé durant 20 ans de son talent prodigieux, il est aussi une très belle personne, comme le rappelle ici Roger Federer.

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Une grande tristesse

Publié le par Michel Monsay

Une grande tristesse
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Il était le plus doué et celui que l'on préférait de la bande, et malheureusement c'est lui qui s'en va le premier à 72 ans. Michel Blanc, pilier surdoué de la troupe de café-théâtre du Splendid composée de Josiane Balasko, Marie-Anne Chazel, Christian Clavier, Gérard Jugnot, Thierry Lhermitte, est resté indissociable du personnage de Jean-Claude Dusse, loser attachant des comédies cultes Les Bronzés (1978) et Les bronzés font du ski (1979), de Patrice Leconte. Dusse, c'est ce moustachu pâlichon qui ne suscite que l'indifférence. Il est le plus touchant de cette bande d'affreux, le seul qui, par-delà les gags, inspire un peu de compassion aux spectateurs. De ses plans drague foireux qui n'atteignent jamais leur conclusion à ses tentatives de suicide, Dusse rate absolument tout. Mais il a accepté son sort, cette fatalité de loser qui le poursuivra toujours. S'il réussit quoique ce soit un jour, ce sera forcément sur un malentendu. Après Les bronzés font du ski où il se retrouve coincé sur un télésiège à chanter « Quand te reverrais-je, pays merveilleux… » en 1979, Michel Blanc va décliner cet archétype dans trois comédies qu'il coécrit avec Patrice Leconte : Viens chez moi, j'habite chez une copine (1980), Ma femme s'appelle reviens (1981) et Circulez, y'a rien à voir (1982). Puis dans son premier film de réalisateur Marche à l'ombre, énorme succès de 1984. Toujours moustachu, le Michel Blanc du début des années 1980 donne un visage à la France qui a raté le train des Trente Glorieuses. La France dans la dèche, qui squatte les canapés des potes et zone devant les flippers, en attendant une vague combine foireuse à la place d'un boulot de plus en plus rare. Michel Blanc joue ce gars-là, « épais comme un sandwich SNCF », comme le chante Renaud dans la B.O. de Marche à l'ombre. Et pour encore mieux se diminuer, il s'affiche avec les beaux balèzes de l'époque, Bernard Giraudeau et Gérard Lanvin. Il reviendra à Bertrand Blier de le transformer en une figure tragique et pathétique. En 1986, dans Tenue de soirée,  Michel Blanc tombe amoureux de Gérard Depardieu, rase sa moustache, se travestit et reçoit le Prix d'interprétation au festival de Cannes, sa carrière peut alors prendre une direction nouvelle. En 1989, Monsieur Hire de Patrice Leconte le précipite dans la France pluvieuse de Georges Simenon. Il y est excellent en jouant autrement, l'éternel invisible, ce fade Hire qui vit seul dans son appartement parisien, obsédé par une voisine qu'il passe des nuits à observer dans le noir. S'il ne renonce pas totalement à la comédie, Michel Blanc va pouvoir devenir le grand acteur dramatique qu'il a toujours rêvé d'être : collabo irascible dans Uranus de Claude Berri en 1990, bouleversant médecin homosexuel courageux et débordé par la vague du Sida dans Les témoins d'André Téchiné en 2007, glacial directeur de cabinet du ministère des transports dans L'exercice de l'Etat, superbe film de Pierre Schoeller, qui lui offre un César amplement mérité en 2011. Dans son dernier film sorti sur les écrans, Marie-Line et son juge de Jean-Pierre Améris, il jouait un juge. Il s'y montrait bougon, alcoolique… et finalement, forcément, attachant. Il y aussi ce rôle qu'il s'est écrit lui-même, dans un numéro schizophrénique troublant. En 1994, dans Grosse fatigue, il se met en scène en pauvre type qui se fait passer pour Michel Blanc où Carole Bouquet l'y traite de « Woody Allen franchouillard ». L'acteur réalisateur est mort sans prévenir, dans la nuit, et sa vie s'est conclue, sur un malentendu. Il aimait citer cette phrase de Jacques Brel : « On est le produit de hasards biologiques qui font ce qu'ils peuvent ». En 50 ans de carrière, il nous aura proposé 50 nuances de Blanc en tant qu'acteur évidemment mais aussi comme réalisateur dans ses trois premiers films, c'est peu dire qu'il va nous manquer.

Extrait d'une interview de Jean-Pierre Améris, le réalisateur de Marie-Line et son juge à propos de Michel Blanc : « Comme souvent avec les comiques, l’émotion n’est jamais loin. J’aime les gens capables de faire rire. Quand on fait autant rire les autres, c’est parce qu’on est blessé. C’est l’être humain qui aurait voulu être autre chose et qui va mettre toute la misère humaine dans son personnage. On reconnaît le talent des acteurs comiques uniquement quand ils font des rôles tragiques. Je le déplore. Dans Les Bronzés ou Marche à l’ombre, il mettait énormément de douleur. Ce genre de rôles qui nous représentent nous consolent et nous sauvent. Le spectateur ne se moque pas de Jean-Claude Dusse. On a de l’empathie pour lui. Et Michel Blanc ne se moquait pas des gens. Il vient d’un milieu modeste, il était très caustique, mais pas du tout méprisant, loin de là. La phrase d’Henri Calet, “Ne me secouez pas, je suis plein de larmes”, lui correspond absolument.

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Irrésistible

Publié le par Michel Monsay

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Cliquez ici pour bien démarrer la semaine, et n'oubliez pas de mettre le son !

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Comment ne pas être écœuré ?

Publié le par Michel Monsay

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Cet homme fait honte aux juifs du monde entier

Publié le par Michel Monsay

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Il n'y a plus de mot pour exprimer le dégoût qu'inspire Macron

Publié le par Michel Monsay

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Écoeurant déni de démocratie

Publié le par Michel Monsay

Écoeurant déni de démocratie

Imaginez si on avait dit à Léon Marchand : tu es arrivé 1er de ta course mais tu n'auras pas la médaille d'or, on la donnera au dernier. C'est exactement ce qui s'est passé avec la nomination de Michel Barnier comme 1er Ministre alors que LR a fait à peine 5% des voix ! Macron est définitivement le pire Président de la 5ème République.

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Le triomphe d'amateurs en or avec l'équipe de France de cécifoot

Publié le par Michel Monsay

Le triomphe d'amateurs en or avec l'équipe de France de cécifoot

L'équipe de France de cécifoot a décroché samedi le premier titre paralympique de son histoire en dominant l'Argentine en finale aux tirs au but. C'est le capitaine Frédéric Villeroux, 41 ans, âme de cette équipe, déjà présent il y a douze ans lors de la finale perdue aux Jeux de Londres contre le Brésil (0-2), qui a plongé le stade dans le bonheur en inscrivant le tir au but du triomphe. La foule, qui s'était si longtemps retenue dans ce sport où le silence est obligatoire pour permettre aux joueurs non-voyants et malvoyants de s'entendre sur le terrain, a pu exploser de joie et chanter sans fin « On est les champions ». Un exploit pour ce groupe d'amateurs face aux professionnels sud-américains, champions du monde en titre et médaillés d'argent aux Jeux de Tokyo il y a trois ans. Il conclut en apothéose une aventure entamée par un coup de force en phase de groupes contre la Chine, vice-championne du monde (1-0), poursuivie en écartant la Colombie en demi-finales. Pour décrocher l’or, il fallait gravir la dernière marche face à l’Argentine, qui a battu le Brésil en demi-finales, pourtant quintuple vainqueur de l’épreuve. Une finale France-Argentine qui se finit aux tirs aux buts n’est pas sans rappeler de mauvais souvenirs avec la finale perdue de la Coupe du Monde au Qatar en 2022, il y avait donc un air de revanche au pied de la tour Eiffel, cette fois avec les non-voyants et mal-voyants du cécifoot. Un exploit qui clôt magnifiquement les merveilleuses performances des athlètes français, mis à part quelques disciplines où il y a encore du travail, lors de ces Jeux paralympiques avec 75 médailles dont 19 en or. L'autre bonne nouvelle de ces Jeux réside dans le succès populaire rencontré, avec une ferveur et une affluence qui ne se sont pas démenties durant toute la compétition et sur tous les stades. Le grand bonhomme de ces Jeux restera Mathieu Bosredon avec 3 médailles d'or en para-cyclisme sur route au contre la montre, à la course en ligne et au relais par équipes.

Le triomphe d'amateurs en or avec l'équipe de France de cécifoot
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Le triomphe d'amateurs en or avec l'équipe de France de cécifoot
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