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Un voyage enivrant à la découverte des parfums d’Orient

Publié le par Michel Monsay

Un voyage enivrant à la découverte des parfums d’Orient

L’Institut du monde arabe propose dans l'exposition Parfums d'Orient de découvrir les senteurs qui ont façonné le monde oriental depuis l’Antiquité. Bois de oud, myrrhe, musc, ambre gris, encens… Les odeurs et les parfums sont omniprésents, des souks aux foyers en passant par les hammams. C'est une exposition sensorielle riche qui ravit l’odorat. Fruits d’un commerce antique majeur, les matières odorantes sont diffusées depuis les rivages orientaux vers les routes du monde entier. La myrrhe ou l’encens d’Arabie, le camphre ou le benjoin d’Asie… Ce sont de ces matières premières que naissent les premiers parfums. L’art de la parfumerie développé en Orient a, par la suite, subi plusieurs évolutions techniques, de l’enfleurage (macération des substances aromatiques dans de la matière grasse pour en capturer l’odeur) à la reproduction synthétique, en passant par la distillation (ébullition d’un liquide aromatisé pour en récupérer la vapeur). À travers les siècles, les orientaux ont utilisé ces parfums bien plus souvent et dans beaucoup plus d’usages de la vie quotidienne qu’en Occident. Pour eux, l’odeur qu’on dégage confère une valeur symbolique et sociale. On ne se parfume pas juste un peu sur la peau pour sortir. On parfume sa maison, on parfume la ville… Avec de nombreuses œuvres, anciennes et contemporaines, mais également des dispositifs olfactifs et ludiques, nous découvrons notamment dans Parfums d'Orient la délicatesse du savon d’Alep et du jasmin de nuit, les arômes épicés du safran et de la cannelle, les fragrances fleuries de la rose et de la fleur d’oranger, sans oublier la pestilence, car toutes les odeurs ne sont pas agréables, de la peau de civette. Pour se familiariser avec ces senteurs, l’exposition invite le visiteur à déambuler dans les quartiers du parfumeur, au cœur des souks arabes, à se relaxer au hammam, lieu de sociabilité et de rituels de soins corporels, ou encore à pénétrer dans l’intimité du foyer, source, notamment, des effluves de cuisine. Manuscrits, miniatures, textiles, peintures, sculptures, photographies, installations, vidéos… près de 200 œuvres, ainsi que les matières premières aux sources des parfums, racontent l’importance des fragrances, onguents, huiles, baumes, eaux ou fumigations dans les pratiques culturelles, sociales et intimes du monde arabe. Toutes ces senteurs et les différentes œuvres de cette belle exposition participent pleinement à la fascination que l'Orient nous procure.

Parfums d'Orient est à voir à L'Institut du monde arabe jusqu'au 17 mars.

Un voyage enivrant à la découverte des parfums d’Orient
Un voyage enivrant à la découverte des parfums d’Orient
Un voyage enivrant à la découverte des parfums d’Orient
Un voyage enivrant à la découverte des parfums d’Orient
Un voyage enivrant à la découverte des parfums d’Orient
Un voyage enivrant à la découverte des parfums d’Orient
Un voyage enivrant à la découverte des parfums d’Orient
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Un voyage enivrant à la découverte des parfums d’Orient
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Un voyage enivrant à la découverte des parfums d’Orient
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Le sublime millefeuille du génie Picasso

Publié le par Michel Monsay

Le sublime millefeuille du génie Picasso

50 ans que Pablo Picasso est mort. Une célébration que le Centre Pompidou en collaboration avec le Musée national Picasso-Paris a organisé dans une magnifique exposition qui vient de se terminer, en réunissant près de mille œuvres : carnets, dessins à l'encre, au fusain, gravures, pastels,... Plus grande rétrospective de l’œuvre dessinée et gravée jamais organisée, Picasso. Dessiner à l’infini plonge dans le tourbillon de la création du génie. Le parcours proposé, non linéaire, bousculant la stricte chronologie, a permis de créer des échos entre différentes périodes et mis en regard des chefs-d’œuvre reconnus et des dessins présentés pour la première fois. Autour de thèmes multiples, l’exposition a démontré la foisonnante diversité de l’artiste à travers des œuvres de dimensions très variées, de tous styles, utilisant toutes les techniques possibles et une scénographie accompagnant cette idée de profusion. Les thématiques s’enchaînaient comme autant de questions posées autour de la représentation, de la ligne, de la place du dessin dans le travail de l’artiste. Même si Picasso est régulièrement l'objet d'expositions sur toutes sortes de sujet, celle-ci de par son ampleur et sa diversité fera date. Des estampes, de l'aquatinte au sucre, de l'eau-forte, des croquis minuscules et des grands formats aussi imposants que des tableaux, du papier à dessin de grande qualité et des livres de compte recyclés… Picasso dessinait sur tout, partout, et tout le temps. Il y a une prolifération du dessin dans sa création, c'est un travail quotidien, une sorte de journal intime de l'œuvre où le classicisme est toujours mis en tension avec un langage d'avant-garde, l'un ne va pas sans l'autre. Picasso. Dessiner à l'infini est une relecture magistrale d'une œuvre que l'on croit à tort connaître par cœur, une affirmation joyeuse et sensuelle de sa beauté étourdissante entre mélancolie et humour, douceur et cruauté. On en ressort complètement ébloui.

Voici quelques unes de ces merveilles !

Le sublime millefeuille du génie Picasso
Le sublime millefeuille du génie Picasso
Le sublime millefeuille du génie Picasso
Le sublime millefeuille du génie Picasso
Le sublime millefeuille du génie Picasso
Le sublime millefeuille du génie Picasso
Le sublime millefeuille du génie Picasso
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Superbe rétrospective de Nicolas de Staël entre abstraction et figuration

Publié le par Michel Monsay

Superbe rétrospective de Nicolas de Staël entre abstraction et figuration

En deux cents œuvres accrochées de manière chronologique, dont un quart n'a jamais été montré au public, cette très belle exposition retrace le parcours de l’artiste franco-russe, de ses premiers portraits à la fin des années 1930 jusqu’aux œuvres du milieu des années 1950, réalisées à Antibes juste avant son suicide. Écorché de l’art moderne, travailleur acharné au service d’une sensibilité abstraite, Nicolas de Staël (1913–1955) est sans doute l’un des peintres les plus mystérieux du XXe siècle. Né dans une famille de militaires russes proche du tsar, sa carrière aura la fulgurance d’un météore, dont la course se terminera à Antibes, où il se suicidera à l’âge de 41 ans. Cette fin tragique occulte quelque peu la figure d’un artiste en constant questionnement, inspiré par la couleur et la lumière. Une vie de romantique au XXe siècle. Cette exposition, qui rencontre un succès stratosphérique depuis son ouverture, mi-septembre, est bien sûr l’occasion de confronter sa rétine au travail d’un peintre. Mais la rétrospective, qu’on doit aux deux commissaires Charlotte Barat-Mabille et Pierre Wat qui ont voyagé durant trois ans pour dénicher des œuvres issues de soixante-cinq collections particulières et quinze musées, est aussi l’occasion d’élaguer quelques idées reçues au sujet de Nicolas de Staël. Tout d'abord, celle qui le fait passer pour un peintre abstrait, et même une icône de l’abstraction. Or l’artiste, lui, revendiquait au contraire, avec un mélange d’humour et de férocité, d’être “écarté du gang de l’abstraction”. Il se moquait des courants et devant les œuvres présentées par les commissaires dans cette rétrospective, on se retrouve de fait face à une abstraction très figurative, ou expressive pour certaines œuvres et pour d'autres infiniment abstraites. En deux cents tableaux et dessins, on peut donc suivre les changements du travail de l’artiste, de ses toiles du début, sombres, maçonnées, hautes en matière, jusqu’aux œuvres de la fin, plus lumineuses et fluides. Nicolas de Staël peignait beaucoup, il était un bourreau de travail qui ne comprenait pas qu'il puisse en être autrement, il expérimentait tout le temps en cherchant en dehors des modes. Cette impressionnante rétrospective que lui consacre le Musée d'art moderne de Paris nous en apprend beaucoup sur ce grand artiste coloriste, y compris à ceux qui pensent connaître son œuvre, on en ressort conquis.

Nicolas de Staël est à voir au Musée d'art moderne jusqu'au 21 janvier.

Superbe rétrospective de Nicolas de Staël entre abstraction et figuration
Superbe rétrospective de Nicolas de Staël entre abstraction et figuration
Superbe rétrospective de Nicolas de Staël entre abstraction et figuration
Superbe rétrospective de Nicolas de Staël entre abstraction et figuration
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Une rencontre décisive entre un peintre et son marchand

Publié le par Michel Monsay

Une rencontre décisive entre un peintre et son marchand

Bien que petite en taille, l’exposition du musée de l’Orangerie à Paris, consacrée à Amedeo Modigliani (1884-1920) et son marchand Paul Guillaume (1891-1934) est l'occasion de découvrir cette relation fructueuse et quelques très belles œuvres peu montrées en France venues souvent de collections privées. Pendant vingt ans, le galeriste défend l’artiste italien contre vents et marées, lui présente le tout-Paris littéraire et artistique et lui montre sa collection d’œuvres d’art premier qui va l’inspirer. Si les débuts de Modigliani à Paris sont marqués par ses liens avec le médecin et collectionneur Paul Alexandre de 1904 à 1914, la suite de sa carrière est marquée par l’aide que Paul Guillaume lui apporte jusqu’à sa mort et même au-delà, en France et aux États-Unis, et malgré la concurrence d’un autre galeriste Léopold Zborowski. La rencontre avec Paul Guillaume a lieu par l’entremise du poète Max Jacob, dont le beau portrait figure parmi les vingt-deux tableaux et huit sculptures que comporte l'exposition, ainsi que des photos, masques africains et documents d'archive. Dans la galerie de portraits présentés à l'Orangerie, les traits sont allongés comme dans les masques africains que le marchand chérissait tant. On réalise que la collaboration entre Amedeo Modigliani et son marchand Paul Guillaume fut décisive, apportant au peintre une relative sécurité financière. Elle coïncide aussi avec l’affirmation de son style, porté par l’influence des arts dits archaïques. Paul Guillaume ne cessera de l’encourager à produire de la peinture, elle se vend a priori plus facilement, et l’artiste, qui pratiquait alors la sculpture et empruntait aux formes épurées de Brancusi, entre véritablement en peinture à ce moment-là. C’est ce formidable tournant, la naissance d’un peintre, que le musée révèle aussi dans cette exposition, dans laquelle sont exposés quelques magnifiques portraits, reconnaissables entre mille, qui ont fait la signature du peintre, contribuant à l’ériger en légende.

Amedeo Modigliani, un peintre et son marchand est à voir jusqu'au 15 janvier au Musée de l’Orangerie

Une rencontre décisive entre un peintre et son marchand
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Les sublimes trésors cachés d’un couturier collectionneur

Publié le par Michel Monsay

Les sublimes trésors cachés d’un couturier collectionneur

Avant de devenir l’un des plus grands couturiers de la fin du XXe siècle, Azzedine Alaïa avait patiemment regardé l’œuvre de ses prédécesseurs, observant à la loupe l’art de la coupe, le tombé des matières, l’élégance de l’allure… Pour sauvegarder la mémoire des ateliers, il a acheté tout au long de sa vie plus de 20 000 pièces, témoins de l’art des créateurs, depuis la naissance de la haute couture à la fin du XIXe siècle jusqu’à certains de ses contemporains, composant ainsi une extraordinaire leçon de couture. Une collection patrimoniale, certainement la plus importante au monde, constituée dans le plus grand secret et jamais dévoilée de son vivant, dont le Palais Galliera propose dans cette superbe exposition, 140 pièces, donnant un aperçu de cette merveille, qui ne sera découverte qu’à la mort du couturier en 2017. La technicité de ce virtuose de la coupe lui venait entre autre de l’admiration qu’il éprouvait pour les couturiers du passé. Il débute sa collection en 1968, à la fermeture de la maison Balenciaga dont il récupère de précieuses pièces, et développe alors une passion pour l’histoire de sa discipline et se fixe ainsi une mission. Souvent, au cours des vingt dernières années de sa vie, et au prétexte d’aller chez le kiné, Azzedine Alaïa se rendait à Drouot ou dans n’importe quelle salle des ventes, parfois plusieurs fois par semaine, voire par jour… Que ses caisses soient vides ou pleines, il a acheté, acheté… Dépensant avant de mourir jusqu’à 2 millions d’euros par an. Outre les plus grands créateurs, comme Jeanne Lanvin, Madame Grès, Paul Poiret, Gabrielle Chanel, Madeleine Vionnet, Christian Dior, Yves Saint-Laurent, Hubert de Givenchy,... il a aussi collectionné des noms aujourd'hui oubliés. Les 140 pièces exposées se répartissent selon une scénographie sobre, soulignée d’un trait de lumière sur les murs rouges donnant l’impression d’un lever de soleil, et l'on ressort ébloui de cette magnifique exposition.

Azzedine Alaïa, couturier collectionneur est à voir au Palais Galliera jusqu'au 21 janvier.

Les sublimes trésors cachés d’un couturier collectionneur
Les sublimes trésors cachés d’un couturier collectionneur
Les sublimes trésors cachés d’un couturier collectionneur
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Les sublimes trésors cachés d’un couturier collectionneur
Les sublimes trésors cachés d’un couturier collectionneur
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Les sublimes trésors cachés d’un couturier collectionneur
Les sublimes trésors cachés d’un couturier collectionneur
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Les sublimes trésors cachés d’un couturier collectionneur
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Magnifique collection permanente du Centre Pompidou

Publié le par Michel Monsay

Magnifique collection permanente du Centre Pompidou

On se rend au Centre Pompidou, ce lieu que l'on aime tant, pour voir une exposition temporaire, sans penser à aller voir la collection permanente du musée, la plus grande collection d’œuvres d’art moderne et contemporain d’Europe, soit pas moins de 140 000 pièces. Pourtant que de chefs-d'œuvres parmi les œuvres exposées ! De Matisse à Kandinsky en passant par Chagall, Picabia, Delaunay, Kupka, Otto Dix, Fernand Léger, De Chirico, August Macke, pour ne citer qu'eux, sans oublier la reproduction à l'identique de l'atelier bureau d'André Breton. On en ressort ébloui.

Voici quelques uns de ces chefs-d'œuvres :

Magnifique collection permanente du Centre Pompidou
Magnifique collection permanente du Centre Pompidou
Magnifique collection permanente du Centre Pompidou
Magnifique collection permanente du Centre Pompidou
Magnifique collection permanente du Centre Pompidou
Magnifique collection permanente du Centre Pompidou
Magnifique collection permanente du Centre Pompidou
Magnifique collection permanente du Centre Pompidou
Magnifique collection permanente du Centre Pompidou
Magnifique collection permanente du Centre Pompidou
Magnifique collection permanente du Centre Pompidou
Magnifique collection permanente du Centre Pompidou
Magnifique collection permanente du Centre Pompidou
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Magnifique collection permanente du Centre Pompidou
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Une passionnante plongée dans l'atelier d'un génie

Publié le par Michel Monsay

Une passionnante plongée dans l'atelier d'un génie
Une passionnante plongée dans l'atelier d'un génie

C‘est un plafond qui a fait hausser les yeux au ciel. En 1964, quand l’Opéra Garnier lève le rideau sur la nouvelle voûte colorée de 220 mètres carrés que lui a offerte Marc Chagall, Paris bruisse de la rumeur du scandale. Et la presse se déchaîne contre cette intrusion de l’art moderne au cœur du bâtiment second Empire aux rondeurs pâtissières. Soixante ans plus tard, les outrances de la polémique feraient presque sourire, quand on parcourt les coupures de presse jaunies exhumées par le Centre Pompidou dans l'exposition Chagall à l'œuvre, alors même que le fameux plafond chatoyant est devenu un incontournable du patrimoine parisien. De récentes donations des petites-filles de Chagall permettent de découvrir la genèse de cette coupole à la féerie colorée, dévoilée à travers une farandole de maquettes et de dessins préparatoires à la gouache, à l'encre, aux pastels et aux crayons de couleur où la fresque circulaire prend forme sous nos yeux, juxtaposant les chromos d’un Paris de carte postale (tour Eiffel, Arc de triomphe, Sacré-Cœur…) et le panthéon musical de l’artiste (Bizet, Verdi ou Beethoven). « Il faut faire chanter le dessin par la couleur », disait ce mélomane, qui élabora son œuvre monumentale au son de La Flûte enchantée. Cent vingt-sept dessins et collages chatoyants, cinq céramiques et sept sculptures composent cette très belle exposition, qui synthétise l'univers de cet immense artiste, empreint de poésie enfantine et de mythologie personnelle où se croisent folklores juif et slave. À l’entrée de l’exposition, notre regard est happé par des dizaines de superbes dessins : ceux des costumes réalisés pour une production de L'Oiseau de feu donnée par le Ballet Theatre de New York en 1944. La mélodie du pinceau, les notes qui dansent sur la toile, voilà le souffle musical qui anime l’œuvre de Chagall. Une musique qui l’inspire, le guide et le pousse à explorer de nouvelles voies visuelles. Sa peinture fusionne avec la danse elle-même, intégrant les mouvements des danseurs dans les plis des tissus, les éclats de couleur dans les mouvements chorégraphiques, dans une symphonie visuelle époustouflante. Tel un chef d’orchestre visionnaire, Chagall imagine des rythmes colorés, mêlant les arts dans des harmonies géométriques déclinées en une infinité de nuances. Sculpture, céramique, collage, peu importe le medium, tant que le voyage est si beau et si inspirant.

Chagall à l'œuvre est à voir au Centre Pompidou jusqu'au 26 février 2024, en voici quelques exemples :

Une passionnante plongée dans l'atelier d'un génie
Une passionnante plongée dans l'atelier d'un génie
Une passionnante plongée dans l'atelier d'un génie
Une passionnante plongée dans l'atelier d'un génie
Une passionnante plongée dans l'atelier d'un génie
Une passionnante plongée dans l'atelier d'un génie
Une passionnante plongée dans l'atelier d'un génie
Une passionnante plongée dans l'atelier d'un génie
Une passionnante plongée dans l'atelier d'un génie
Une passionnante plongée dans l'atelier d'un génie
Une passionnante plongée dans l'atelier d'un génie
Une passionnante plongée dans l'atelier d'un génie
Une passionnante plongée dans l'atelier d'un génie
Une passionnante plongée dans l'atelier d'un génie
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Une amitié intellectuelle, poétique et artistique très influente

Publié le par Michel Monsay

Une amitié intellectuelle, poétique et artistique très influente

Le musée du Luxembourg à Paris propose une exposition inédite sur la rencontre entre l'œuvre de l'Espagnol Pablo Picasso et l'écriture de l'Américaine Gertrude Stein, une amitié au cœur de la première avant-garde artistique du XXe siècle. C'est un regard décalé sur Picasso, dont on célèbre en 2023 le cinquantenaire de la mort. La rencontre entre Picasso et Gertrude Stein intervient physiquement à Paris en deux temps, en 1904 et 1905, à une époque où le jeune Espagnol, depuis peu en France, découvre l'œuvre de Cézanne et Matisse chez les Stein. Cette famille américaine de rentiers bohème vient elle aussi de s'installer à Paris, à deux pas du musée du Luxembourg. Ils vont devenir les collectionneurs et mécènes les plus réputés de l'époque. C'est un véritable coup de foudre amical, au point que Picasso demande à réaliser le portrait de Gertrude Stein. Plus d'une centaine d'œuvres, allant de l'héritage de Paul Cézanne aux premiers moments du cubisme, avec de très beau tableaux de Braque et Juan Gris notamment, jusqu'aux expériences artistiques de la scène underground américaine et à des artistes contemporains, héritiers de cette avant-garde, composent cette exposition ambitieuse et exigeante. Elle l’est aussi par sa construction en deux parties très distinctes, dont la figure de l’écrivaine et collectionneuse Gertrude Stein (1874-1946) assure la cohérence. Elle l’est encore parce que, si Picasso y est présent à travers de magnifiques œuvres, ce n’est pas pour un énième hommage convenu, mais pour montrer combien il introduit une révolution déterminante pour les arts au XXe siècle. D'ailleurs le sous-titre de l'exposition est L’invention du langage. La deuxième partie est composée d'extraits de textes poétiques de Gertrude Stein, écrivaine juive et homosexuelle, qui deviendra l'une des plus grandes figures de la littérature américaine d'avant-garde. Mais aussi de plusieurs approches conceptuelles, performatives et critiques de l'art, de la poésie, de la musique, de la danse et du théâtre américains, à travers de grandes figures comme John Cage, Jasper Johns, Robert Rauschenberg, Merce Cunningham, Trisha Brown,... ou encore Andy Warhol. Cette belle exposition met en valeur l’influence majeure de Gertrude Stein et Picasso sur les avant-gardes littéraires et picturales du XXe siècle.

Voici quelques œuvres de l'exposition :

Une amitié intellectuelle, poétique et artistique très influente
Une amitié intellectuelle, poétique et artistique très influente
Une amitié intellectuelle, poétique et artistique très influente
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Belles découvertes

Publié le par Michel Monsay

Belles découvertes

À l'occasion des portes ouvertes des ateliers d'artistes à Montreuil ce week-end, voici quelques belles surprises découvertes dans l'ancienne usine Chapal qui accueille aujourd'hui, et depuis 25 ans pour les premiers, une soixantaine d'artistes dans un lieu intelligemment reconverti au charme certain. Parmi eux, le sculpteur Aleksandar Petrovic avec ses superbes œuvres lumineuses, baroques et impressionnantes, assemblages de métal, de verre et de lumières qu'il recycle pour créer des vaisseaux spatiaux dignes de la Guerre des étoiles.

Ci-dessous quelques œuvres d'Alexsandar Petrovic et d'autres artistes :

Belles découvertes
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Elliott Erwitt, génial observateur du genre humain et canin

Publié le par Michel Monsay

Elliott Erwitt, génial observateur du genre humain et canin

Le photographe franco-américain Elliott Erwitt, 95 ans, a fait l'objet d'une riche rétrospective de 220 photos au Musée Maillol, qui s'est terminée dimanche dernier, mais l'exposition sera visible très prochainement à Lyon. Elliott Erwitt est ce qu’on appelle un photographe total. Il a tout fait : de la photographie intime, du grand reportage, de la mode, de la publicité... Quel que soit l’angle abordé ou le sujet, on retrouve son regard singulier, à la fois moqueur et plein d’humanité, qui est sa marque de fabrique et illumine tout son travail. Pilier de la prestigieuse agence Magnum où il est entré en 1954 sous la houlette de Robert Capa, Elliott Erwitt est à cheval sur les deux rives de l'Atlantique : né en France de parents immigrés russes en 1928, il a ensuite grandi en Italie avant de faire carrière aux États-Unis et de parcourir le monde en tant que reporter. Riche de 220 photos, l'exposition est divisée en une dizaine de thématiques définies par l’artiste lui-même. Pour son travail personnel, Elliott Erwitt favorise depuis toujours le noir et blanc, pourtant, ses images en couleur, un aspect de son travail moins connu, sont aussi puissantes et malicieuses, admirablement cadrées et composées, que celles en noir et blanc. Il est à la photographie ce que Jacques Tati est au cinéma : un farceur de génie. Elliott Erwitt a été l’un des plus grands photojournalistes de la seconde moitié du XXe siècle. Révélant aux Américains la supériorité des missiles soviétiques lors d’un reportage à Moscou pour le 40ᵉ anniversaire de la révolution bolchevique, en 1957. Immortalisant deux ans plus tard, dans la même ville, l’altercation à bas bruit entre le rustre Nikita Khrouchtchev et l’arrogant Richard Nixon, alors à la tête des deux plus grandes puissances mondiales. Le photographe s’est baladé soixante ans durant avec deux appareils, profitant des commandes qui lui étaient passées par la presse ou la publicité pour porter sur ses contemporains un autre regard, à la fois amusé et lucide. Cette exposition enthousiasmante démontre s'il en était besoin le talent d'Elliott Erwitt, qu'il photographie des anonymes ou des célébrités, il parvient à capturer un formidable concentré du petit théâtre de la vie, toujours drôle ou émouvant.

Elliott Erwitt, une rétrospective est à voir à la Sucrière à Lyon du 21 octobre 2023 au 17 mars 2024.

Voici un aperçu de l'exposition ci-dessous, cliquez sur la première photo pour la voir en grand et faites défiler avec les flèches.

Elliott Erwitt, génial observateur du genre humain et canin
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