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Exceptionnel spectacle de flamenco classique et contemporian

Publié le par Michel Monsay

Exceptionnel spectacle de flamenco classique et contemporian

Il est très rare à la télévision de voir des spectacles de flamenco. C’est l’irradiante Maria Pages qui mène la danse dans son superbe spectacle « Una Oda al Tiempo ». En douze tableaux, Maria Pages et les membres de sa compagnie font vibrer les planches de la scène du Teatro campoamor à Oviedo, en Espagne. Toutes les formes du flamenco nous sont ici présentées sous le thème du temps qui passe inexorablement. Un spectacle puissant, à la sensualité débordante. María Pagés a fait de la danse et du flamenco sa patrie poétique. Créatrice infatigable, iconoclaste par nature, elle est une pionnière qui considère le flamenco comme un art en constante évolution, vivant et contemporain, sans jamais renoncer à l’utilisation des codes fondamentaux de la tradition. Prix National de Danse et Médaille d’Or des Beaux-arts en Espagne, María Pagés a débuté sa carrière professionnelle auprès du grand Antonio Gades, et aujourd'hui à 58 ans elle continue de se produire avec sa compagnie dans le monde entier. Entourée de huit danseurs et sept musiciens, elle nous offre ici un spectacle très visuel où le travail de lumière prend une place essentielle pour magnifier une chorégraphie et une scénographie à couper le souffle. La musique est omniprésente durant les douze tableaux, où tous les styles de flamenco s'enchaînent, et par moments des éléments de musique classique viennent s'intégrer à la partition. Maria Pages dépoussière le flamenco et le rend vibrant de modernité dans ce spectacle fascinant traversé de moments de joie, de tristesse, d'exaltation, de mélancolie, de solitude et de fraternité, c'est somptueux.

A voir uniquement aujourd'hui ici ou sur l’application FranceTv de votre télé.

Publié dans replay

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Mains occupées ou mains dans les poches

Publié le par Michel Monsay

Mains occupées ou mains dans les poches

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Portrait

Publié le par Michel Monsay

Portrait

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Emouvant portrait d'un grand homme

Publié le par Michel Monsay

Emouvant portrait d'un grand homme

Dans ce documentaire, le réalisateur Romain Icard revient sur les principaux obstacles à l’abolition de la peine capitale en France, qui fête ses 40 ans, et éclaire l’origine de l’engagement de son principal artisan, Robert Badinter. On a aujourd’hui oublié combien le combat pour l’abolition de la peine de mort avait été d’une violence inouïe, Robert Badinter n’avait que des coups à prendre dans cette lutte, d’abord judiciaire puis politique. S’il s’y plonge, c’est par conviction, bien sûr, mais aussi parce qu’il se fait une haute idée de la République française. Ce film nous permet de comprendre d’où lui venait cet amour indéfectible pour son pays, en mettant en lumière les ressorts intimes de son engagement. Robert Badinter est le reflet de son époque et les combats qu’il a mené, pas seulement l’abolition de la peine de mort, trouvent bien souvent leur source dans des blessures plus anciennes, principalement le 9 février 1943, lorsque le jeune Robert qui a 14 ans, assiste impuissant à l'arrestation par les hommes de Klaus Barbie de son père Simon, déporté et gazé à Sobibor. Le documentaire montre aussi comment l’avocat, spécialisé dans le droit des affaires, est devenu « l’honneur de la gauche » et une figure incontournable de la Ve République. La vie de Robert Badinter est une leçon pour mieux comprendre le passé, et un récit qui éclaire comme rarement ce que veut dire le mot engagement. Profondément humaniste et passionné par la Justice, il marquera  son ministère par de nombreux autres combats, avant de se retirer doucement de la sphère politique et refuser un destin qui aurait pu être national. Quel dommage qu'il n'ait pas accepté. Ce très beau documentaire déploie les événements privés et professionnels qui ont forgé le sens de la justice de Robert Badinter, narrés par Elsa Lepoivre, de la Comédie française, avec les interventions d'Elisabeth Badinter, de Robert Badinter en voix-off, et de ses amis et collaborateurs.

Le documentaire est à voir sur le replay de France 3 ou ici

Publié dans replay

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Une correspondance de haute volée

Publié le par Michel Monsay

Une correspondance de haute volée

Pendant dix ans, Anton Tchekhov et la belle Lydia Mizinova, chanteuse, actrice, traductrice et essayiste, qui inspira à l’écrivain russe la Nina de « La Mouette », vont multiplier les échanges épistolaires. Grâce à Nicolas Struve, leur correspondance, inédite en français, donne vie à un formidable spectacle interprété par David Gouhier et Stéphanie Schwartzbrod, tous deux très convaincants. Ce ne sont pas tant les personnages de Tchekhov et de Lika qu’ils incarnent que leur esprit. Un esprit joueur, primesautier, un désir fou de liberté dans cette Russie de la fin du XIXe siècle, une mélancolie débordante de vitalité, qui se teindra de couleurs plus sombres au fur et à mesure que les années avancent, et qu’ils ne cessent de se voir et de s’écrire, au tournant du siècle. C’est elle, l’écriture, qui est au cœur de la mise en scène de Nicolas Struve, qui inscrit ses deux acteurs dans une boîte noire comme un tableau d’écolier, remplie de feuilles de papier blanc qui s’envoleront ou resteront entassées dans les coins. Sur ces grandes pages noires du décor, Lika et Anton écrivent et dessinent à l’eau des fragments d’amour, deux êtres aussi acharnés à traquer les promesses de bonheur qu’à les laisser s’enfuir. Leur histoire épistolaire s’apparente à une cuisine pimentée d’un humour qui canalise l’amertume ou l’aigre-doux du sentiment amoureux sous une mousse légère de jeux où les mots de l’un se voient renvoyer la balle dans la réponse de l’autre. Ce spectacle, traversé de finesse et d'intelligence, s'ouvre et se referme sur des extraits de cette pièce emblématique du théâtre russe, qui le soir de sa première essuya un échec total.

A voir au Théâtre de la Reine blanche jusqu'au 9 octobre.

Publié dans Théâtre

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Pour ceux qui n'auraient pas compris !

Publié le par Michel Monsay

Pour ceux qui n'auraient pas compris !

Jean-Michel Apathie a complètement raison, son intervention à voir ici

Pour oublier ce sale type, voici la très belle une du prochain Télérama :

Pour ceux qui n'auraient pas compris !

Publié dans Chroniques

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Echanges

Publié le par Michel Monsay

Echanges

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A vomir

Publié le par Michel Monsay

A vomir

L'édito de Patrick Cohen à voir ici

Publié dans Chroniques

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Emouvant

Publié le par Michel Monsay

Emouvant

L'émotion de la fin de la cérémonie  à voir ici et un extrait pour revoir un Belmondo en pleine forme ici

Publié dans Chroniques

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Le maître

Publié le par Michel Monsay

Le maître

Une petite merveille à voir ici

Publié dans Chroniques

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