Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

chroniques

Depuis une semaine ses chansons tournent en boucle dans nos têtes

Publié le par Michel Monsay

Publié dans Chroniques

Partager cet article
Repost0

Tristesse infinie pour l'icône de la chanson française

Publié le par Michel Monsay

Tristesse infinie pour l'icône de la chanson française
Tristesse infinie pour l'icône de la chanson française

À la fois populaire et décalée. À côté, au-dessus, ailleurs. Proche et insaisissable. Portée par la vague yéyé naissante, mais déjà détachée du lot, avec sa voix feutrée, sa diction distinguée et subtilement nonchalante. Son caractère mélancolique, empreint d’un romantisme classique, loin de Sheila et de Sylvie. Rien à faire, Françoise ne leur ressemble pas. Elle est élégante, elle est réservée. Elle est capable d’écrire et de composer elle-même, là où bien des chanteurs se contentent d’importer en France les hits venus d’ailleurs. Moins pulpeuse que ne le veulent les canons de l’époque, elle s’étonne qu’on la trouve si belle. Et peine à croire en un succès qu’elle n’a pas particulièrement cherché et qui, presque malgré elle, ne cesse d’enfler. L’année suivante, il est immense. « Françoise Hardy, un phénomène social », titre un journal suisse. Des milliers de filles se coiffent comme elle. Elle fait la Une des magazines et la fascination qu'elle exerce dépasse largement les frontières, Mick Jagger, David Bowie, Bob Dylan, Brian Jones en sont fous. Tout au long de sa carrière, elle aura suivi son instinct, cultivant un certain mystère et ne cherchant pas spécialement à plaire, et pourtant sa disparition provoque une grande tristesse.

Voici deux chansons qu'on ne se lasse pas d'écouter :

Publié dans Chroniques

Partager cet article
Repost0

Un bonheur de le voir jouer, et les bonheurs en ce moment ça ne se refuse pas !

Publié le par Michel Monsay

Un bonheur de le voir jouer, et les bonheurs en ce moment ça ne se refuse pas !
Un bonheur de le voir jouer, et les bonheurs en ce moment ça ne se refuse pas !

Au terme d'une finale marathon, Carlos Alcaraz est venu à bout d'Alexander Zverev en cinq sets et 4h19 de jeu (6-3, 2-6, 5-7, 6-1, 6-2), dimanche à Roland-Garros. C'est le troisième titre du Grand Chelem pour l'Espagnol, son premier Porte d'Auteuil. Année après année, Carlos Alcaraz agrandit son domaine de compétences. Deux ans après avoir maîtrisé le dur à l'US Open 2022, un an après avoir dompté le gazon à Wimbledon 2023, l'Espagnol a décroché son troisième titre en Grand Chelem sur la terre battue de Roland-Garros, dimanche à 21 ans. Là où les jeunes loups du circuit se contentent parfois de frapper la balle méthodiquement, le tennis d’Alcaraz offre ce petit supplément d’âme. Il faut que ça claque, que ça crépite, que ça épate. Il est tantôt explosif en fond de court, tantôt soyeux dans le toucher de balle quand il caresse les amorties et les volées. Sur les sept derniers tournois du Grand Chelem, Jannik Sinner et Carlos Alcaraz en ont remporté quatre. Entre l’Italien, nouveau numéro 1 mondial, et l’Espagnol numéro 2, tous les ingrédients sont là pour alimenter sur la durée le feuilleton du circuit masculin, à condition que les blessures les épargnent. Carlos Alcaraz a bien démontré en remportant Roland Garros qu'il a un mental, un physique et un talent hors du commun, le tout avec une panoplie infinie de coups et une capacité d'adaptation impressionnante.

Pour voir un résumé de la finale, c'est ici.

Publié dans Chroniques

Partager cet article
Repost0

Ce beau dessin de Joann Sfar pour se remettre de la connerie des français

Publié le par Michel Monsay

Ce beau dessin de Joann Sfar pour se remettre de la connerie des français

Publié dans Chroniques

Partager cet article
Repost0

Grande tristesse avec la disparition de Christophe Deloire

Publié le par Michel Monsay

Grande tristesse avec la disparition de Christophe Deloire

Le secrétaire général de Reporters sans frontières (RSF), est mort ce samedi 8 juin à l'âge de 53 ans. Décédé des suites d’un cancer fulgurant, le journaliste était hospitalisé depuis plusieurs semaines à l’hôpital Saint-Louis, après la découverte tardive de tumeurs au cerveau. Ce défenseur infatigable de la liberté de la presse était à la tête de RSF depuis 2012, et a su transformé l’association en un champion mondial de la défense du journalisme, durant douze ans. En juillet 2023, il s’était vu confier la direction d’un comité de pilotage des États généraux de l’information. Au-delà de ces responsabilités récentes, il avait continué à incarner le visage de l’organisation non gouvernementale Reporters sans frontières, par exemple en se mobilisant pour dénoncer la nomination de Geoffroy Lejeune à la tête du Journal du dimanche en juin 2023. « Nous sommes ici pour éviter un nouveau carnage dans une rédaction », avait clamé Christophe Deloire, lors de la soirée de soutien à la rédaction du JDD, le 27 juin à Paris, faisant référence à CNews, Europe 1, Prisma et Paris Match, tous contrôlés par Bolloré, et qui ont subi les mêmes sorts. Interrogé sur France Inter, le 1er juillet, le secrétaire général de RSF avait clairement affirmé que « là où Bolloré passe, le journalisme trépasse. C’est un ogre qui digère les médias et les transforme en organe d’opinion ».

J'avais eu le plaisir d’interviewer Christophe Deloire il y a 7 ans au siège de Reporters sans frontières, voici l'interview.

Publié dans Chroniques

Partager cet article
Repost0

Honteux !

Publié le par Michel Monsay

Honteux !
Honteux !
Honteux !

Pour que l'Europe continue d'exister et peser sur la scène internationale, allez voter et ne vous trompez pas de bulletin.

Publié dans Chroniques

Partager cet article
Repost0

En ce jour anniversaire, un dessin de Cabu qui nous manque tant

Publié le par Michel Monsay

En ce jour anniversaire, un dessin de Cabu qui nous manque tant

Malheureusement l'espoir de Cabu n'est pas du tout exaucé, loin de là, avec cette photo abjecte et ce dessin d'une tristesse infinie.

En ce jour anniversaire, un dessin de Cabu qui nous manque tant
En ce jour anniversaire, un dessin de Cabu qui nous manque tant

Publié dans Chroniques

Partager cet article
Repost0

Tout est dit !

Publié le par Michel Monsay

Tout est dit !
Tout est dit !
Tout est dit !
Tout est dit !
Tout est dit !
Tout est dit !

Publié dans Chroniques

Partager cet article
Repost0

Magnifique Zaho de Sagazan

Publié le par Michel Monsay

Magnifique Zaho de Sagazan

Dans une cérémonie d'ouverture du Festival de Cannes bien meilleure qu'à l'accoutumée, Zaho de Sagazan, dont on a déjà dit le plus grand bien, a montré une nouvelle fois l'étendue de son talent en reprenant Modern love de David Bowie, ce qui a provoqué une grande émotion à Greta Gerwig, la présidente du jury, en lui rappelant une scène emblématique de Frances Ha, le film qui l'a révélée.

Publié dans Chroniques

Partager cet article
Repost0

On marche sur la tête

Publié le par Michel Monsay

On marche sur la tête
On marche sur la tête

Publié dans Chroniques

Partager cet article
Repost0

<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 20 30 40 50 > >>