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chroniques

Ils nous manquent tant !

Publié le par Michel Monsay

Ils nous manquent tant !

Gabriella Papadakis et Guillaume Cizeron, les champions olympiques et cinq fois champions du monde, qui ont décidé de se mettre en pause de compétition depuis mars 2022, ont cependant participé à des tournées et spectacles en 2023. ils n'ont pas pour l'instant décider s'ils allaient reprendre la compétition ou l'arrêter définitivement, voilà pourquoi ces occasions de les revoir danser ensemble nous procure un bonheur absolu, notamment sur Roses, une très belle musique de Jean-Michel Blais. Indéniablement, ils incarnent la grâce ultime et ce qui se fait de mieux dans l'histoire du patinage artistique.

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Une fois de plus, écœurant !

Publié le par Michel Monsay

Une fois de plus, écœurant !
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Une fois de plus, écœurant !

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Incroyable équipe de France de handball

Publié le par Michel Monsay

Incroyable équipe de France de handball

L'équipe de France de handball, championne olympique, a battu le Danemark, champion du monde, 33-31 après prolongation en finale du Championnat d'Europe, dimanche à Cologne (Allemagne), au bout d'un match palpitant. Après 2006, 2010 et 2014, les Bleus remportent leur quatrième titre continental en autant de finales jouées. La concentration de bonnes équipes est plus importante sur le Vieux Continent que partout ailleurs, de fait le Championnat d’Europe de handball est généralement jugé d’un niveau plus élevé que celui du Mondial ou des Jeux olympiques. Ce constat, flagrant à la lecture des palmarès internationaux, majore la victoire de l’équipe de France à cet Euro. Souvent menés, parfois malmenés par les Danois, les Français ont trouvé les ressources physiques et mentales pour ne pas craquer et toujours revenir dans la partie, égalisant à la dernière minute de la deuxième mi-temps (27-27). Lors des prolongations, ils ont réussi à prendre deux buts d’avance au milieu de la deuxième période, et n’ont plus lâché leur avantage. Pour ajouter cette nouvelle ligne à son imposant palmarès, l’équipe de France a fait preuve d’une grande force mentale tout au long du tournoi. Menés d’un but à moins d’une seconde de la fin de leur demi-finale face à la Suède, les Bleus avaient arraché les prolongations sur le gong grâce à un coup franc aussi sublime que miraculeux d’Elohim Prandi. Un pétard à 12 mètres en déséquilibre unanimement qualifié de «but d’anthologie». Les hommes de Guillaume Gille l’ont ensuite emporté durant le temps supplémentaire. Score final 34-30. Deux jours après cet exploit à la dernière seconde contre la Suède, les Bleus ont refait le coup à 30 secondes de la fin du temps réglementaire avant de s’envoler dans la dernière minute des prolongations grâce une nouvelle fois à Elohim Prandi. La cohésion et l'esprit de groupe sont une quête complexe dans les sports collectifs et, contrairement à l’adage, l’abondance de talents peut nuire. L’équipe de France en sait quelque chose : Le souvenir cuisant de l’Euro 2020, marqué par un délitement collectif et une 14e place déshonorante qui valut au coach Didier Dinart d’être limogé. Dès le début de cet Euro, Guillaume Gille a répété à ses hommes qu’il comptait sur eux tous, sans exception. Au final, seule formation invaincue de l’Euro, l’équipe de France a aussi su tirer profit de la virtuosité de ses individualités : Nedim Remili, élu meilleur joueur de l’Euro (avec trente-quatre buts et cinquante-trois passes décisives) ; Ludovic Fabregas, incroyable d’efficacité en attaque (88 %) et en défense ; Dika Mem, meilleur buteur de l’équipe avec quarante-neuf réalisations. Ce succès consacre aussi, l’inédite longévité de la légende du handball mondial, Nikola Karabatic, auréolé d’un 11e grand titre international (sur les treize remportés par la France dans son histoire). A trois mois de son 40e anniversaire, il a semblé vivre une deuxième jeunesse pendant l’Euro. Un enthousiasme de novice s’est emparé de lui à chaque but marqué (seize en tout) ou après chaque geste défensif décisif, n’hésitant pas à mettre son corps en opposition devant des adversaires qui pouvaient presque être ses enfants. Cela promet pour les Jeux Olympiques dans quelques mois ...

Le résumé de la finale est à voir ci-dessous :

Incroyable équipe de France de handball

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Le nouveau prince du tennis mondial

Publié le par Michel Monsay

Le nouveau prince du tennis mondial
Le nouveau prince du tennis mondial
Le nouveau prince du tennis mondial

Mené deux manches à rien au bout de 1h25, Jannik Sinner a renversé Daniil Medvedev qui semblait intouchable, après une formidable remontée pour remporter la finale de l'Open d'Australie en 3h44 ce dimanche (3-6, 3-6, 6-4, 6-4, 6-3). Les promesses suscitées par Jannik Sinner en fin de saison dernière ont été tenues, et de quelle manière ! À 22 ans, il décroche ainsi sa première victoire en Grand Chelem, il est le troisième joueur italien à l'avoir fait, après Nicola Pietrangeli (Roland-Garros, 1959-1960) et Adriano Panatta (Roland-Garros, 1976). Medvedev a pour sa part subi son cinquième échec en six finales de Grand Chelem et revécu à Melbourne son cauchemar de 2022, où il avait vu Rafael Nadal remonter lui aussi un handicap de deux sets. Comme le grand Rafa, Jannik Sinner n'a pas renoncé après avoir été asphyxié par le pressing et la qualité de jeu de Medvedev dans les deux premières manches, mieux, son tennis reprenait progressivement des couleurs dans un troisième set accroché qu'il parvenait à remporter. Sinner a accentué sa pression dès le début du quatrième set. Ses jambes et son bras allaient bien plus vite qu'en début de partie. Dans une manche qu'il a globalement dominée, l'Italien n'a connu qu'une alerte, à 3 partout, où il a sauvé une balle de break grâce à un ace. Mais sa fin de set a été intraitable. Face à un joueur qui piochait de plus en plus physiquement, il s'est appuyé sur son coup droit pour empocher le set. Pour avoir joué près de six heures de moins que Medvedev sur l'ensemble de la quinzaine, Sinner se montrait logiquement le plus frais physiquement. Désormais, c'est lui qui avait la main. Sur un dernier coup droit foudroyant, Jannik Sinner a parachevé sa prise de pouvoir au terme d'un tournoi où il a montré un niveau de tennis impressionnant, notamment en demi-finale en battant l'invincible Novak Djokovic. Pour sa première finale d'un tournoi majeur, il a montré des capacités mentales insoupçonnées. C'est l'avènement d'un beau champion, dont l'humilité fait tellement de bien de nos jours. Cette première finale de l'Open d'Australie sans Nadal, Djokovic ou Federer depuis 2005 a vu l'éclosion au plus haut niveau de Jannik Sinner, qui avec Carlos Alcaraz nous promettent des combats d'anthologie, à moins que Djokovic à 36 ans continue de nous éblouir.

Pour voir un petit résumé de la finale, c'est ici.

Le nouveau prince du tennis mondial
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Bonheurs musicaux

Publié le par Michel Monsay

Bonheurs musicaux

Tout d'abord, cette sublime chanson de George Harrison, l'une des plus belles de toute l'histoire de la musique pop, a été un de mes tous premiers émois musicaux et reste à jamais gravé en moi.

Magnifique Stevie Wonder reprenant "Fragile" devant un Sting admiratif.

Pour finir, le plus grand grand, le plus beau, la plus belle voix : Jim Morrison, mort beaucoup trop jeune, et l'un des tous meilleurs groupes de l'histoire du rock : The Doors.

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Magistral Cyprien Sarrazin

Publié le par Michel Monsay

Magistral Cyprien Sarrazin
Magistral Cyprien Sarrazin

Le skieur français a remporté hier la prestigieuse descente de Kitzbühel, en Autriche. Au terme d’une course époustouflante, il a devancé le Suisse Marco Odermatt, le meilleur skieur depuis deux ans, de 91 centièmes et l’Italien Dominik Paris de 1 seconde 44, des écarts impressionnants à ce niveau. La veille, le natif de Gap s’était déjà illustré en s’imposant sur cette piste, longue de plus de 3 kilomètres, la plus vertigineuse et la plus prestigieuse de la Coupe du monde de ski. A 29 ans, Cyprien Sarrazin devient ainsi le deuxième Français à réaliser un doublé à Kitzbühel, après Luc Alphand en 1995. Il est également devenu le cinquième Français à s’imposer sur cette piste légendaire après Adrien Duvillard (1960), Guy Périllat (1961), Jean-Claude Killy (1967) et Luc Alphand (1997). Si un grand soleil surplombait la piste autrichienne, celle-ci était, ce 20 janvier, plus rapide que la veille, avec plus de parties en glace. Marco Odermatt, principal rival du tricolore, s’est élancé juste avant lui avec un rythme impressionnant, prenant plus d’une seconde à tous ses adversaires. Mais depuis la fin du mois de décembre et sa première victoire à Bormio (Italie), le Français marche sur l’eau. Samedi, il a impressionné dans tous les secteurs de la piste et devancé le Suisse, leader du classement général de la Coupe du monde, de 91 centièmes. Une performance exceptionnelle.

Voici la descente somptueuse de Cyprien Sarrazin :

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Saturation jusqu'à l'indigestion !

Publié le par Michel Monsay

Saturation jusqu'à l'indigestion !

Après la gueule de bois Rachida Dati, la cuvée Macron 2024 a été servie gratuitement à toutes les tables des Français hier soir. À 20h15, pas moins de six chaînes ont bousculé leur programmation pour diffuser une conférence de presse exceptionnelle du président de la République, un petit air d’ORTF pour deux heures de com en prime time. L’objectif ? Faire un hold-up sur un des principaux carrefours d’audience des antennes, potentiellement vingt millions de téléspectateurs cumulés. Une manière de continuer à saturer l’espace médiatique après un mois de janvier cannibalisé par l’agitation macroniste : une séquence remaniement interminable pour accoucher d'un gouvernement sans intérêt, la nomination du plus jeune Premier ministre de la V République, sorte de doublure sans pouvoir, la nomination surprise d’une ministre de la Culture qui n’avait jamais manifesté par le passé la moindre accointance avec la matière… De quoi étouffer un peu plus la droite et reléguer les oppositions dans le rôle d’observateurs d’un spectacle où la communication, dans un geste performatif vain, tient lieu d’action politique. Le président, qui préfère les monologues, ne goûte guère les conférences de presse : alors que de Gaulle se prêta dix-sept fois à l’exercice en dix ans, c’est seulement la troisième fois en sept ans que Macron s’y essaie. Tout se passe comme s'il ne cherchait pas tant à dire quelque chose qu’à occuper le temps de cerveau disponible des Français. Avant le « grand rendez-vous avec la nation », il y avait eu l’« initiative politique d’ampleur », selon le clinquant jargon élyséen. En réalité, cela avait abouti aux piteuses « rencontres de Saint-Denis », une simple réunion du chef de l’État avec les principaux partis d’opposition, qui a fait pschitt. Il en va de même pour la plupart de ses prétendues innovations démocratiques. Il y a cinq ans, se tenait le « grand débat national », qui n’a débouché sur rien, si ce n’est des cartons de cahiers de doléances, écrits dans le sillage des gilets jaunes, qui prennent la poussière aux Archives nationales et départementales. Idem pour la « convention citoyenne pour le climat », dont la plupart des propositions n’ont pas survécu au veto présidentiel. Sans oublier le fumeux « conseil national de la refondation », sorte de Parlement sans légitimité démocratique où on ne décide de rien ou presque. C’est ça le style Macron : prétendre innover en créant de nouvelles instances, nous embobiner avec de belles phrases, de la mièvrerie et des promesses qu'il ne tiendra pas, pour au final gouverner seul dans sa tour en étant toujours aussi satisfait de lui-même ! Au final hier soir, un discours libéral conservateur voire suranné, où il a dit par exemple vouloir s'attaquer avec force  aux heures non remplacées des enseignants après avoir supprimé 2000 postes à la rentrée 2023 ... Des énormités comme celle-là, il y en a à la pelle !

Saturation jusqu'à l'indigestion !
Saturation jusqu'à l'indigestion !

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À vomir !

Publié le par Michel Monsay

À vomir !

Outre le fait qu'elle n'a rien à faire à la Culture, Dati arrive bardée de casseroles au ministère, notamment deux embarrassantes affaires judiciaires, dont une lui vaut une mise en examen ! Ça doit être un critère pour Macron dans le recrutement de ses ministres, en plus des manœuvres politiciennes des plus écœurantes ... Un gouvernement qui ne fait pas la fierté de la France ! Rarement voire jamais, un Président n'avait à ce point déçu ! Il n'y a plus de mots ...

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Justine Triet rend réellement fière la France !

Publié le par Michel Monsay

Justine Triet rend réellement fière la France !

Palme d’or au Festival de Cannes et incontestablement l'un des tous meilleurs films de 2023, Anatomie d’une chute, adoré dans ces colonnes, continue d’enchaîner les récompenses à l’étranger. La réalisatrice et scénariste Justine Triet et l’équipe du long métrage français sont repartis avec deux Golden Globes : « meilleur scénario », arraché face à des poids lourds comme Barbie et Oppenheimer, et « meilleur film de langue étrangère ». Récompenses méritées pour ce film de procès magistral, sur la chute mystérieuse d’un homme depuis un étage de sa maison alpine. De bon augure pour les Oscars ? S’il n’est pas éligible dans la catégorie du meilleur film international (la commission de sélection du CNC lui ayant préféré La Passion de Dodin Bouffant pour représenter la France, un pur scandale), il a en revanche toutes les chances de concourir pour les Oscars du meilleur film, de la meilleure actrice et du meilleur scénario.

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L'actualité vue différemment

Publié le par Michel Monsay

L'actualité vue différemment
L'actualité vue différemment

D'abord un hommage à Charlie neuf ans après l'horreur du 7 janvier 2015, puis un dessin très bien vu de Chappatte sur l'élection américaine à venir. Enfin, deux Unes de Libération, toujours aussi pertinentes : Le non événement du remplacement de la Première Ministre, comme si ça allait changer quelque chose ... Macron nous prend vraiment pour des imbéciles ! J'adore le titre de l'autre : La convergence des brutes, c'est tout à fait ça, la frontière entre la droite et l'extrême droite n'existe plus ! Pour finir, quelques dessins sur le non événement !

L'actualité vue différemment
L'actualité vue différemment
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L'actualité vue différemment
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